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Chimirec Massif Central inaugure son nouveau site sur la ZAC des Bruyères de Queuille

Chimirec Massif Central inaugure son nouveau site sur la ZAC des Bruyères de Queuille

Aménagée en 2006 dans le cadre du contrat territorial du bassin des Combrailles, la ZAC des Bruyères, située à Queuille, est à vocation industrielle et représente une superficie de 14 hectares.

Implantée sur cette dernière, le groupe Chimirec Massif Central, spécialisé dans la collecte et la valorisation des déchets, a inauguré son nouveau site ce jeudi en présence de Michaël Baré, suppléant de Christine Pirès-Beaune et Vice-Président de Combrailles, Sioule et Morge en charge du développement économique, Sébastien Guillot, Président de la communauté de communes, Laurent Battut, Président du Valtom, Jean Fixot, Président du groupe Chimirec, Olivier Dalle et Éric Bestion, respectivement Président et Directeur de Chimirec Massif Central.

Cet établissement vient soutenir l’activité de Chimirec Massif Central, installé à Mende, et ainsi proposer une solution de tri et de collecte sur le département.

L’entreprise a présenté ses équipements de collecte et de tri des déchets – issus de l’automobile, de l’industrie ou des 52 déchetteries du Puy-de-Dôme. Triés et prétraités directement sur site, l’objectif est de donner une seconde vie aux quelques 7500 tonnes de déchets qui devraient être collectées d’ici fin 2025, sur une capacité de 15 000 tonnes.

Le nouveau site, qui a nécessité un investissement de 7 millions d’euros, représente une surface totale d’environ 4 000 m². Il est notamment composé d’un bâtiment principal de 3 000 m², d’un auvent de 700m² qui permettra de réceptionner, trier et stocker les déchets non dangereux, d’un bunker de 100m² pour les piles en lithium, de bureaux et d’un laboratoire d’analyses. Afin d’éviter tous risques liés au stockage des déchets dangereux, les bâtiments ont été sécurisés à l’aide de dispositifs, déployés sur cette aire étanche de 15 000 m².

Chimirec compte aujourd’hui une vingtaine de collaborateurs, issus directement du bassin économique, et espère atteindre un effectif de 40 salariés, tels que des chimistes, opérateurs de maintenances ou encore chauffeurs, d’ici fin 2025 en fonction de l’activité du site.